Depuis quelques années nous avons pris l'habitude de faire un voyage au printemps.

N'étant pas des adeptes des sports d'hiver nous choisissons des destinations ensoleillées, la côte d'azur, la Corse ou la Guadeloupe . Cette fois-ci nous avons choisi la Thaïlande. Nous avons pris une formule 8 jours de circuit + 4 jours dans la presqu'île de Phuket.

Le circuit se passe bien, des bouddhas et toujours des bouddhas mais bien sur des paysages de rêve. L'accueil des Thaïs est sympathique mais le rythme du voyage est épuisant, vivement le séjour sur les plages dorées de Phuket.

Notre circuit s'achève et après quelques heures d'avion nous arrivons à Phuket, très jolie villégiature touristique sur le bord du golfe du Bengale (dans la mer d'Andaman). L'hôtel est splendide et tout de suite après notre installation nous décidons de faire du farniente aux abords de la piscine. Il n'y a pas beaucoup d'endroit ombragé de libre, le soleil cogne pas mal il vaut mieux s'en protéger. Une jeune femme me voyant chercher un coin agréable se pousse un peu et range les serviettes étalées autour d'elle.

- Venez ! Les bonnes places sont chères.

- Merci !

Un après-midi au calme au bord de la piscine m'a fait le plus grand bien, la caresse du soleil sur ma peau aussi. Au repas nos nouveaux amis (Nicole et Bernard) nous ont réservé des places bien situées car ce soir il y a un spectacle de danses folkloriques.

- Si vous voulez, venez avec nous !

- Je vous en remercie lui dis-je, puis voyant la scène, j'espère que ce n'est pas le même genre qu'à la panthère rose !

- Ah ! Vous connaissez ? Ce n'est pas commun n'est-ce pas ?

La conversation s'engage, des sites visités, des banalités, du climat. Les hommes sympathisent, ils parlent de pêche sportive à la grande joie de mon mari qui en rêve depuis longtemps mais n'ose pas y aller tout seul dans l'inconnu.

En passant dans le hall de l'hôtel pour se rendre au restaurant pour le repas du soir j'aperçois plusieurs marchands qui attendent le touriste. Surtout des vendeurs de produits contrefaits, polos, sacs en cuir, montres... puis dans un coin un tailleur local expose sur des cintres ses réalisations. Je m'approche, il me remarque et dans un français presque parfait me fait admirer de ravissants tailleurs, corsages et vestes toutes en soie, c'est vraiment superbe, les couleurs sont chatoyantes. Mon mari regarde de son côté des costumes et chemises en soie sans oublier une collection de cravates en soie. Et en regardant les prix indiqués dessus je n'en reviens pas c'est au moins quatre à cinq fois moins cher qu'en France.

- Vous voyez ces merveilles madame ! Me dit-il.

- Mais vous n'avez qu'un à deux modèles par genre je n'aurais jamais ma taille !

- Ce ne sont que des modèles d'exposition, si ça vous en intéresse, venez dans notre boutique en ville et en plus vous aurez un choix très important de tissus.

- Mais nous partons dans trois jours !

- Pas de problèmes me rétorque le marchand, je n'ai besoin que d'une journée pour vous faire tout ce que vous voulez. Il me donne une carte avec un petit plan. Si vous venez demain matin je vous fais toute votre commande pour le lendemain matin !

Puis il sort de sous le tréteau qui lui sert de table un grand carton rempli d'innombrables pochettes en nylon.

- C'est aussi notre production me dit-il en me montant une pochette, il l'ouvre et dépose sur la table un slip et un soutien-gorge coordonné et bien sur en soie. Et on les fait aussi sur mesure. J'ai plusieurs modèles me dit-il, du string brésilien à la culotte large ou serrée, et des soutiens-gorge avec balconnet ou pour décolletés.

C'est mon péché mignon les dessous en soie mais trop chers chez nous. Je prends sa carte et nous partons manger. Nicole et Bernard nous attendent. Je leur parle du tailleur, le connaisse t'il ?

- Bien sur ! Me dit Nicole nous revenons chaque fois avec deux costumes pour Bernard et pour moi pleins de ravissants dessous et des robes ou tailleurs.

- Et en une journée seulement ?

- Tu sais tout leur commerce est tourné vers le touriste et ici c'est leur seul revenu. Ce n'est pas lui qui coud tes habits mais n'innombrables petits artisans qui sitôt la commande arrivée se jette sur le travail et ne s'arrêtent que leur travail fini. Ils savent bien que le touriste ne reste ici que quelques jours.

Une nouvelle journée commence aussi ensoleillée que les précédentes. Notre programme aujourd'hui : matinée libre et pour cet après-midi promenade en bateau, les îles Phi-Phi et d'autres paradis tropicaux. Mais ce matin Philippe, mon mari, veut absolument retourner voir ce tailleur pour se faire confectionner un costume. Les chauffeurs de taxi locaux nous attendent à la porte de l'hôtel dans leur tuk-tuk de toutes les couleurs, nous leur montrons le carton fourni par ce tailleur et en voiture.

A peine 1/4 d'heure après notre chauffeur nous dépose devant sa boutique. Le marchand nous accueille sur le pas de la porte. Nous pénétrons à l'intérieur, des tissus à perte de vue sont disposés sur au moins quatre rayons. Une vieille femme est derrière la caisse, elle nous sourit, et plus loin deux jeunes hommes ma foi assez mignons se trouvent un peu plus loin dans l'encoignure d'une autre pièce. Nous lui disons nos besoins, un costume et des chemises pour Philippe et pour moi un tailleur et après on verra !

- Pour monsieur je m'en occupe nous dit-il et pour vous madame je vous laisse entre les mains de mes deux fils car ma fille et ma femme qui s'occupe du rayon dame sont partis à Bangkok pour une semaine pour acheter de nouveaux tissus, cela ne vous gène pas ?

- Non ça ira lui répondis-je !

Je suis les deux jeunes hommes dans la pièce d'à côté, sur un cintre ils me montrent différents tailleurs.

- Quelle taille faites-vous ?

- 38-40 cela dépend.

Le plus grand prend le mètre ruban qui est sur son épaule, s'approche de moi et mesure ma taille. Il me présente un tailleur puis plusieurs autres, ils sont tous aussi ravissants les uns que les autres. Mon choix se porte sur un d'une couleur bleu clair, je le prends puis lui demande où l'essayer ? Ils me désignent dans un coin de la pièce un rideau et m'accompagnent. Je le passe et ressort. Un vendeur se met à genoux devant moi et retourne le bas de la jupe et me demande à quelle longueur je veux. En ce moment je suis plutôt mini jupe mais pas trop ......! Il roule le bas et la remonte doucement, je sens ses mains sur mes genoux.

- Un peu plus court lui dis-je !

Il remonte encore, je sens ses mains sur mes cuisses, de la position qu'il est, je suis sur qu'il voit maintenant ma petite culotte rien que d'y penser j'ai des frissons. Je le fais redescendre à mi-cuisse, c'est parfait, il pose des aiguilles pour marquer l'ourlet et se redresse puis soulevant un peu la veste il pose ses mains sur ma taille, j'ai un mouvement de recul ressentant le contact de sa main sur la peau nue de mon ventre. Pour la taille c'est bon. Il remet la veste en place, elle est un peu grande me dit-il il faut juste reprendre les boutons. Il me déboutonne je le laisse faire, il l'entrouvre et bien sûr il ne peut s'empêcher de voir mon soutien-gorge blanc en nylon tout transparent, il remarque bien sur le bout rouge de mes seins, ça m'émoustille de voir son regard posé sur moi. Je choisis un autre ensemble et il recommence le même manège mais avec des gestes plus appuyés, ça lui fait de l'effet mais à moi aussi.

Celui qui n'a rien dit jusqu'à présent me dit qu'un caraco en soie dessous ferais le plus bel effet, j'acquiesce, il s'avance vers moi et m'enlève la veste, je ne sais plus quoi faire ! Je n'avais pas prévu ce matin que se seraient deux hommes qui feraient l'essayage. Je ne dis rien ce petit bout de tissu qui me recouvre la poitrine ne leur cache pas grand chose. Il prend un mètre ruban et me mesure le tour de poitrine et l'inscrit sur son papier. Puis il me suggère de regarder leurs sous-vêtements, je suis venu aussi pour ça mais cela me gène beaucoup d'avoir affaire à deux hommes. Ils déposent différentes formes de soutien-gorge sur la table devant nous moi n'ayant sur moi que la jupe que j'étais en train d'essayer et mon soutien-gorge, mais pris dans leur jeu ça m'excite aussi.

- Pouvez-vous l'enlever pour prendre nos mesures ? Et la jupe aussi.

Cela commence à m'amuser, que fait mon mari en ce moment ? J'enlève la jupe et leur donne, puis détache l'agrafe dans mon dos, me voilà maintenant en petite culotte blanche toute transparente aussi et les seins nus qui sont ma foi encore pas trop mal malgré une maternité. On passe le mètre sur ma poitrine, il le repose sur le bout des seins en l'effleurant un peu intentionnellement ou pas ? Puis sous les seins.

- Quelle est votre taille ? J'opterai pour un 90C ? Dit l'un.

- Non dit l'autre ! Plutôt un 95C !

- Je prends du 95C d'habitude ! Leur répondis-je.

Il me prend un sein dans sa main le soulève passe son mètre en dessous et en mesure la circonférence. Il l'inscrit aussi sur son papier, puis me montrant des petites culottes me demande quel type je veux. Des strings, il sort de son carton différents types j'en choisis deux.

- Vous me ferez une de chaque avec un soutien-gorge.

Regardez cette nouvelle culotte me dit-il en me montrant un slip flottant genre short. Pas mal leur dis-je faites-moi en un en plus sur chaque ensemble de sous-vêtement. Toujours seulement vêtue de mon string, il me sorte la soie en rouleau pour que j'en choisisse la couleur. Je me rhabille très émoustillée et je rejoins Philippe, il a presque fini.

- J'ai choisi deux costumes un bleu et un gris et des chemises.

Nous partons, cette séance d'essayage m'a beaucoup plue, j'en suis encore tout émue.

Le voyage de l'après midi est superbe et nous rentrons à l'hôtel. Bernard qui n'avait pas voulu venir avec nous cet après-midi nous attend dans le hall en buvant une bière. Il nous voit et s'avance sur nous.

- Ca ne te fait rien France que je te prenne ton mari demain après-midi ? Le patron des vedettes de pèche m'offre deux places pour demain, je suis un très bon client, il me demande de remplacer deux touristes qui ont un empêchement.

Nicole veut aller faire ses dernières courses à la ville vous pourrez y aller ensemble non ?

- Mais bien sûr et je sais que Philippe est entièrement d'accord.

- Tu ne va pas t'ennuyer me dit-il ?

- N'est pas peur avec Nicole je ne m'ennuis jamais ! Je dois retourner demain matin chez le tailleur pour le dernier essayage.

La soirée s'achève et la nuit aussi. J'ai bien réfléchi avant de m'endormir que faire demain en absence de nos maris qu'a prévu Nicole ? Une petite séance de massage ne me déplairait pas avant de partir.

Me revoici chez le tailleur, il me remarque et va au devant de moi. Il sort les costumes de mon mari d'une pochette en plastique. Ses deux fils me font passer dans la pièce d'à côté et referme la porte, tiens bizarre hier ils ne l'avaient pas fermée. Les deux tailleurs en soie sont derrière le rideau, je les essaye, ils me vont très bien, aucune retouche, mais malgré cela, ça ne les empêche pas de me frôler ou me toucher. Puis il me fait voir les sous-vêtements que j'avais commandés et les pose sur le divan qui se trouve dans la pièce.

- Pouvez-vous les essayer ?

Je pars sous le rideau du coin qui sert de cabine d'essayage, enlève le tailleur et leur donne, je me déshabille entièrement et passe les soutien gorges les uns après les autres, ils me vont très bien. Le plus vieux des fils (dans les 30 ans pas plus) ouvre le rideau, j'ai un mouvement de recul.

- Pouvez-vous venir avec le nouveau type de culotte, la flottante nous n'avons pas encore l'habitude d'en faire et je voudrais voir s'il n'y a pas de problèmes ?

Je tire le rideau et enfile la culotte qu'il souhaite. Je n'ai pas l'habitude de ce genre de culotte, elle baille sur les côtés et ne me sert pas comme un string, c'est bizarre, je sors avec seulement un soutien-gorge rouge et la culotte voulue aussi transparente l'un que l'autre.

Je lui fais face, il regarde ma poitrine passe la main dans le soutien-gorge prend un sein le soulève pour le relever. Un peu trop serré me dit-il il faut repousser l'agrafe de quelques millimètres. Il passe la main dans mon dos et l'enlève, puis le donnant à son frère lui demande de procéder à la retouche, je suis maintenant les seins nus en face de lui. Il se met à genoux, il a le nez à hauteur de mon pubis et je suis sur que dans l'échancrure de la culotte il peut voir mon sexe tout rasé et mon clitoris saillant, rien que d'y penser j'ai des fourmis. Il me demande de me tourner, il pose ses mains sur mes fesses maintenant. Est-ce des gestes de couturier ? Puis je lui refais face. Il passe son doigt sur la bordure du slip qui est beaucoup fendu, il le tire, il ne doit rien perdre de mon intimité maintenant, j'ai du mal à respirer, je transpire beaucoup. Ses doigts s'immiscent à présents sous la culotte et se mettent à titiller mon clitoris, je n'ai pas de réactions.

Je sens deux mains arriver par derrière et m'emprisonner les seins. Ils en pincent les bouts et devant mon absence de refus celui de devant prend la culotte à la taille et la descend, je suis même surprise de voir que je participe en levant le pied pour la faire passer. Celui de derrière a du se dévêtir car je sens son torse sur le dos et aussi son sexe dans la raie des fesses, l'autre aussi se déshabille, nous voici tous les trois entièrement nus! Vite ! Celui qui me fait face me prend dans ses bras et me soulève un peu je sens son membre bien raide se frayer un passage à l'intersection de mes cuisses se positionner sur ma vulve et d'un seul coup m'envahir. J'ai un sursaut je sens bien le gland faire des va-et-vient dans mon vagin, qu'il me fait du bien ! Ainsi emmanchés il me déplace et va s'asseoir sur le bras du divan et c'est à moi de faire le travail. Son frère dans mon dos s'approche, me caresse le flanc, les épaules et les seins. Je sens maintenant ses mains se positionner sur mes fesses et à l'aide de ma mouille passe son index sur mon anus et d'un seul coup l'enfonce, je sursaute. Son sexe maintenant remplace son doigt et en profitant que je m'abaisse sur le sexe de son frère d'une petite poussée entre la bite dans mon cul. Quelle impression d'être prise ainsi,ce n’est que du bonheur. Je m'arrête.

Les deux glands font un travail ravageur. Mon enculeur m'empoigne les seins les triture, pince les bouts devenus énormes je ressens son pénis qui commence à grossir et presque tout de suite se met à cracher dans mes entrailles, je pousse des soupirs, il me met la main sur la bouche et l'autre toujours en train d'agacer mon téton. Il reste en place ses couilles battent sur mes fesses. L'orgasme arrive au galop, me transperce je vois des étoiles partout. Je malaxe la bite de l'autre frère, le gland devient énorme et les giclées de sperme viennent buter au fond de ma grotte, j'ai un autre orgasme mes jambes flageolent heureusement que je suis bien emmanchée car sinon je tombe par terre, ils me soutiennent et me pose sur le divan, leurs sexes pendent misérablement, je les prends dans la main et chacun leur tour je les embrasse, puis les saisissant j'essaye de prendre les deux glands dans la bouche que j'écarte au maximum. J'ai mal à la commissure de lèvres mais je réussis à les faire rentrer, je fais tourner ma langue autour de leur gland, ils sont bien, moi aussi. J'entends du bruit de l'autre côté de la porte, j'éjecte leur sexe de ma bouche et nous nous précipitons derrière le rideau. Quelques instants plus tard on cogne à la porte et on l'ouvre.

- Vous avez fini ?

- Oui ! Je me rhabille, dans une minute je sors, !

Mes deux baiseurs se sont aussi précipités avec moi sous le rideau Un frère se met à genoux, enserre mes cuisses et avançant sa tête à hauteur de mon sexe encore mouillé de son sperme saisis mon clitoris entre les dents. J'essaye de le repousser mais il me tient bien. Il me fait encore du bien, je m'échappe et réussis à m'habiller non sans mal, en mettant mon string, je dépose au fond de nombreux mouchoirs Kleenex pour éponger le sperme de mes deux amants.

Je sors et me retrouve dans la boutique.

- Je ferais déposer vos achats en fin de soirée à votre hôtel, bon séjour nous dit le marchand.

Le père me serre la main, s'incline et me remercie pour nos achats. Les deux frères revenus et bien sur habillés me saluet aussi et le plus âgé me tend une carte, je la regarde, de la pub me dis-je et je la mets dans mon sac à dos.

Le repas fini, nos maris embarquent dans le bateau, Nicole et moi les accompagnons jusqu'à l'embarcadère. Ils s'en vont et nous lui faisons des signes d'au revoir. Sur le chemin du retour je raconte à Nicole mon aventure de ce matin chez le tailleur.

- Ah ! Tu as été chez les frères Phong me dit-elle, de joyeux queutards, j'ai goûté aussi, et je crois qu'ils ont ouvert un salon de massage exclusivement réservé aux femmes mais je ne sais pas où il est.

- Mais ils m'ont donné une carte ! Je me revois la mettre dans mon sac. Je m'arrête et dépose mon sac à dos. Sur le côté je tire une cartelette " body'ladies shop " écrite en anglais, je la tends à Nicole, c'est ça ?

- Oui je crois ! On y va ? Pas aujourd’hui suis trop crevée